Les Grands Crocs se rencontrent [feat Alaphon Leaven et Meliodas Ater]

Après mon voyage avec Aaron dans les montagnes hostiles de Draklar je me suis rendue à Akile par le port d'Odin afin de demander audience à son père, gagner un peu d'or et éventuels informations sur ce gamin qui avait une sacré prime sur sa tête.

Je me retrouve donc dans un étrange petit village qui me laisserait penser qu'il est abandonné si je ne voyais pas de temps en temps des gens qui ferment leurs portes ainsi que leurs volets. Bien que je sois maintenant habituer aux comportements craintifs ou haineux envers moi là je dois avouer que c'est un peu extrême, même l'auberge du village ferma lorsque j'approcha.

"Mais euh... C'est quoi ce village où même l'entrée à l'auberge nous est interdite ?!" Me demanda Lise d'un ton agacé.
"Je n'en sais rien mais faisons une escale à l'extérieur, nos provisions s'épuisent" Lui répondis-je.

Nous nous sommes donc monter le campement non loin du village près d'une foret, moi j'étais resté monter la garde tandis que Lise était parti chasser en criant "Je vais me défouler un peu dans les bois, j'en profiterais pour ramener le dîner" Etant une carnassière je doutes qu'elle soit partie à la cueillète des champignons.

Soudain j'entendit des bruits de pas et aperçu un homme étrange blanc comme la neige s'approcher un grimoire à la main (cela me rappelle une vieille connaissance) d'un air sinistre. Je me leva et me mît en posture défensive et lui hurla "Qui va là ? Décline ton identité !"

Moi qui voulais juste trouver un endroit pour me reposer du voyage que j'avais fait, me voila obligé de errer dans une forêt sombre, alors que la nuits tombait. Je sentais le vent me refroidir.
Je n'avais que les feuilles mortes pour compagnie "encore seul ce soir" pensais-je.

Je sentais une présence mais je cru délirer à cause de la solitude. Mais cette fois je n'étais pas seul, J’entendis une voie qui me hurla à me déchirer les tympans "Qui va là ? Décline ton identité !".
L'individu se tenais près à m'attaquer et moi non.
Il avait la peau clair, c'est cheveux était gris comme du métal. C'est bras ce finissaient par des griffes capable de me déchiqueter
Je sentais la température de l'air ce réchauffer. Mais ce qui ma surpris c'était une grande paire d'ailes qui lui sortait du dos.
Elle étaient aussi magnifiques que terrifiantes. Face à ce monstre, il y avait moi.
Un simple vampire qui n'était pas d'état pour un combat contre un serviteur des ténèbres.

Je levais les mains pour montrer que je n'était pas là pour me battre. Je le regarda et lui dit:
« Bonjour, je ne suis pas là pour vous attaquer, Je ne fait que passer. »
Dit comme ça il ne devrait pas trot se sentir en danger et devrai ce calmer.
« Je me présente je me nome Alaphon, je suis un homme d'église qui cherche quelque chose »
Je sentait son regard sur moi, il devait me juger comme un pauvre misérable. Son regard ressemblai à celui du prédateur regardant sa future proie. Le problème c'est que la proie c'était moi mais j’espérais ne pas me faire tué si facilement.

Il leva les mains en signe de bonne fois et répondit "Bonjour, je ne suis pas là pour vous attaquer, je ne fais que passer." Il ajouta "Je me présente, je me nomme Alaphon, je suis un homme d'église cherche quelque chose."

A ces mots je n'eu qu'une réaction lâcher un rire des plus déconcertant. Non, lui, un homme d'église ? C'est la meilleur ! S'il est vraiment un religieux je veux bien m'arracher un croc pour lui donner tiens !

Je repris mon calme et lui dit "Un homme d'église, vraiment ? J'ai du mal à y croire mais en tout cas si tu as l'intention d'aller dans le village d'à côté je te le déconseille ils ne sont pas très accueillant..." Je n'avais pas confiance en lui mais je ne voyais l’intérêt de le laisser déambuler toute la nuit pour chercher un lieu pour dormir bien que cela pourrait être horripilant à regarder.

Je continua pour lui dire d'un ton un peu plus autoritaire "Si tu ne fait que passer tu devrais rester ici pour la nuit, j'ai quelques questions à te poser."

Il rigole, il me rigole au nez.Tu parle d'une peur qu'il ma fait.
Bon au moins il ne ma pas attaquer c'est déjà sa ai-je pensé.
Merci beaucoup pour cette accueil lui dis-je en souriant. Mais je sentais comme une animosité dans l'air. Comme si il ce méfiai de moi, c'est vrai que je peux faire peur, je ne suis une bonne personne ,je croit. Enfin j'espère faire bonne impression.

Je me dirigeais vers lui en me posant quelque questions, mais je n'ai pas le courage de les poser directement.
Qui pouvait il être?
En tous cas, il était suffisamment gentil pour m’invitai à passer la nuit en sa compagnie il ne devait avoir un bon fond.
Je pouvais sentir sur moi son regard terrifiant. Je m’assis sur un rondin de bois comme n’importe quel voyageur. Tous en me demandant si c’était une bonne idée d’accepté la proposition d'un inconnu.
Il était peux être un de ces pillard sans foi ni loi ou un mercenaire qui ferrait tous pour de l'argent. Je lui dit "Que souhaitez-vous savoir ?" car peux être que j'en serai plus sur ma mystérieuse rencontre

Il semblait hésitant mais obéit tout de même, il vînt s'asseoir sur un rondin en face de moi et me répondit "Que souhaitez-vous savoir ?" Il semblait ne pas être à l'aise en face moi mais après tout c'était le but rechercher.

Je me rassit de même et lui demanda "Tu n'es pas humain et pourtant tu fais partie d'une église ? Je dois avouer que c'est... surprenant." Je ne croyais toujours pas qu'il faisait partie d'une église et à première vue, il ne possédait rien qui puisse me le confirmer.

Je repris avec un soupir "J'en oublie mes bonnes manières. Je répond au nom de Galrauch et je suis un sang-mêlé à la recherche de la capitale Akoy. Connaîtrais-tu, par hasard, un chemin qui permet de s'y rendre rapidement ?" Il devait probablement connaître le coin mieux que moi, ce qui en soi n'est bien compliquer.

En attendant sa réponse j'usa de mon élément pour faire apparaître des flammes bleues dans mes mains et allumer le bois qui avait été disposer préalablement tout en le gardant à l’œil, ce type ne m'inspire pas confiance mais c'est la seule personne à qui j'ai pu parler dans le coin.

"Je suis enchanté de faire ta connaissance Galrauch" lui dis-je
Je sentais des doutes, comme si j’étais un monstre. Qui est il pour me jugé avec son "surprenant", il ressemble à un démon la preuve il utilise des flammes bleus. On dit que se sont des flammes maléfique.
Mais pas de conclusion rapide, il est peut être gentil? Peut-être?  

'Je ne suis pas humain c'est exact et alors, les gens n'ont pas le droit de faire ce qu'ils veulent?
Je crois personnellement en un panthéon de dieu ancien qui mon permit de développer mes pouvoirs et qui m'offre une raison à ma vie. Grâce à eux, je sais que les pouvoirs que l'on ma donner me permettront de changé des choses dans ce monde. Les pouvoirs ne sont il pas là pour faire changé le monde?'
Je sentais un aire agacé par ma façon de parlé, Alors pour changé de sujet et repasser ce qu'il cherche à savoir.  

"Bon, parlons plutôt de ce que vous vouliez savoir. Il est exacte que je sais où se trouve la capital Akoy ?
C'est ville importante mais je connais une route pour si rendre mais attention elle peut être dangereuse mais il avait l'air de savoir ce qu'il voulais et sa devait être important vu le regard qu'il lançait.
Si tu souhaite que je t'y emmène ce serai avec plaisir

Il me répondit "Je ne suis pas humain c'est exact, et alors, les gens n'ont pas le droits de faire ce qu'ils veulent ?"
Il semblait vexer comme si je lui avait fait une atteinte personnelle alors que je voulais dénoncer l'étroitesse d'esprit de certaines églises qui plaçaient l'humain au dessus de tout et se permettaient de rabaisser les autres espèce vivant dans ce monde.

Après m'être excuser et expliquer que ce n'était pas lui que je jugeait il me dit "Je suis enchanté de faire ta connaissance Galrauch." Le ton me paraissait un peu forcer mais après tout je n'ai pas été des plus chaleureux avec lui...

Il continua en disant "Bon, parlons de ce que vous vouliez savoir. Il est exact que je sais où se trouve la capitale, Akoy." Et bien le hasard faisait bien les choses, je venait de trouver un guide restait plus qu'à le convaincre de m'y emmener. A ce moment Lise arriva avec un énorme sanglier sur les épaules, elle le déposa et m'adressa un "Tiens ? Il est mort le type en face de toi ? Ça fait combien de temps que tu l'a tué ?"

Je lui répondit "Lise, je te présente Alaphon, un simple homme d'église qui connait le chemin vers Akoy." Et voilà, avec elle personne ne pourrait refuser de faire le guide. Quand je dis que le hasard faisait bien les choses.

Elle s'exclama "C'est super ! Mais pourquoi tu l'as tué alors ? Il aurait pu nous guider." Je me retint de rire, elle n'avait pas comprit que ce moine était un vampire.

je lui répondit amuser "Mais, tu sais, il n'est pas mort. Enfin seulement à moitié et j'espérait effectivement qu'il nous guide."

Ce tenait devant moi une jeune femme avec un visage magnifique ainsi que des cheveux blonds. Elle était magnifique, mais je me méfiai d'elle
Elle venait de tué un sanglier par c'est propre moyen. Elle devait être ballèse pour avoir fait sa à mains nues. Surement une ancienne enfant des rues qui à du apprendre la dur vie des rue.
Je lui dit pour me présenté en toute politesse:
"Si je peux me permettre je ne suis pas encore mort Mademoiselle. Mais heureux de faire votre connaissance. Je me nomme Alaphon "
J’espère avoir fait bonne impression au près de ce charment couple.

"Bon sinon me permettez vous que je regarde ce sanglier, j'aimerai m’assurai de quel que choses." dis-je en ouvrant mon livre. "Cette bête est peut être possédé par un démon" leur dis-je.
"Vous ne pouvais pas savoir combien de cas de possession par ingestion de viande possédé j'ai du exorcisé".
Je toucha mon collier et je fis apparaitre un bâton et je commença à tracer les motifs sur le sol avec la pointe de mon bâton. Tous sa sous le regard de mes de compagnon de camping.

Il répondit à Lise "Si je peux me permettre je ne suis pas encore mort mademoiselle. Mais heureux de faire votre connaissance. Je me nomme Alaphon." Lise quant à elle se mit à me chuchoter d'un air malicieux de façon à ce qu'Alaphon n'entende pas. "Gal, c'est moi ou c'est un vampire à moins que tu es vraiment perdue la main et que tu te soit attendri ?"

Moi, toujours le sourire aux lèvres dit à haute voix "Non, non c'est est bien un. Tu sais très bien que quand je commence un boulot je le termine toujours." Je parlait distinctement pour qu'Alaphon comprenne ne serait-ce qu'un peu qu'on parlait de lui.

Il se leva ouvra son livre et nous annonça "Bon sinon me permettez-vous que je regarde ce sanglier, j'aimerai m’assurer de quelque chose." Il ajouta "Cette bête est peut-être possédé par un démon" Un démon rien que ça ! Avec un peu de chance soit cela fera un nouveau compagnon de voyage (et donc un monstre de plus, si ça continue on va ouvrir un zoo), soit un peu d'exercice pour moi. Je tiens à préciser que je préfère de loin la deuxième option.

Il continua en nous disant "Vous ne pouvez pas savoir combien de cas de possessions pas ingestion de viande possédé j'ai du exorciser."
Lise un peu perdu par ce qu'à dit ce vampire rétorqua "Je vois pas en quoi mon sanglier est possédé mais si ça te fait plaisir."

Il toucha son pendentif qui fit apparaître un bâton fait d'ossement surmonter d'un crâne et commença à tracer des symbole au sol avec. Moi, de mon côté j'avais perdu le sourire. Certes, la démonologie permettait d'exorciser les démons mais également de jeté des malédictions, je le regardais donc très attentivement pour savoir quel sort il allait lancer.

Une fois le cercle tracé au sol je demanda à Lise et Galrauch de reculer sa peut être dangereux.
"Vous savez le travail d'exorciste peux paraitre extraordinaire, mais en faite c'est très rare de voir un grand démon. Souvent c'est un démon mineur que l'on fait disparaitre d'une simple formule"
Je récita une formule et le cercle prit feu, je vue sortir de la carcasse un petit ver qui tentait de fuir le cercle.
Je l’attrapa et je le mis au creux de mes mains.

J’entendais c'est murmure il me chuchote deviens mon esclave obéi moi misérable humain.
Je ne suis pas un serviteur et je n'ai de compte à rendre à personne surtout un misérable être comme toi.En disant ça je le fit brûler par les flammes.
Puis le crane de mon bâton ce mis à brillé et le cercle disparut tous autour.
Puisje regarda mais deux camarade et dit "bon, maintenant on le mange ce sanglier".

Il continua de tracer un cercle au sol et nous demanda de reculer car il pourrait y avoir des risques. Je me demandais quelle sorte de démon allait sortir, j'espérait qu'il soit assez puissant pour me tenir tête. J'en tremblait d’excitation à l'idée d'avoir un redoutable adversaire mais Alaphon interrompit cela seulement en prononçant quelques mots: "Vous savez le travail d'exorciste peut paraître extraordinaire mais en fait c'est rare de voir un grand démon. Souvent, c'est un démon mineur que l'on fait disparaître d'une simple formule."

Il récita une formule qui fît prendre feu au cercle lorsqu'une sorte de ver apparu et qu'Alaphon attrapa et dit "Je ne suis pas un serviteur et je n'ai de compte à rendre à personne surtout à un misérable être comme toi !" avant de le faire flamber. Il fît ensuite disparaître le cercle à l'aide de son bâton et annonça "Bon, maintenant on le mange ce sanglier ?"

Lise se mit à hurler "C'est pas trop tôt ! J'ai faim, moi et t'a mis un temps de fou pour juste griller un ver !" Elle se retourna vers moi avec un filet de bave au coin de la bouche et me dit "Aller, assez patienter fait-le rôtir ce sanglier!"

Moi, j'étais complètement déçu, toute cette mise en scène pour un malheureux vers... Je poussa un soupir et fît rôtir ce sanglier blaser comme jamais. Une fois cuit et servit je n'en mangea qu'une côte et dit "Éteignez le feu feu une fois que vous avez fini de manger. On a une longue route demain." D'un air ennuyer en allant me coucher. Lise ne tarda pas à me rejoindre laissant l'autre tante à Alaphon.

Elle commence à m’énervai elle avec son "C'est pas trop tôt !".
La prochaine foie je ne dirais rien et les laisserai bruler de l'intérieur. Non mais sa sait ce battre et sa ne respect pas le travail des autres. Bon on a qu'a dire que c'est le manque de maturité du à leur age.

Mais me voila seul avec cette blonde hystérique qui est en train de dévoré la cuisse du sanglier.
Pendant quel dévorai ce sanglier moi j'en profite pour sortir mon livre et relire quel que truc puis je décide de partir me coucher car il était déjà tard et qu'on avait du chemin pour demain.

Le lendemain matin je me réveilla en baillant un grand coup tout en m'étirant, je n'aperçu pas Lise dans la tante, elle devait déjà être levé... Je me sortit de la tante voyant Lise fredonner un petit air joyeux, je la trouva si belle et douce que je ne n'osa pas l'interrompre. Elle me vît et me dit: "Salut ! Bien dormi ?"

je lui répondit: "Bonjour, j'ai dormi comme un bébé." Ne voyant pas Alaphon j'ajouta: "Notre guide n'est pas encore levé ? Il va falloir levé le camp."

Je sais que les vampires ne sont pas du jour mais il faut qu'il se réveille quand même j'aimerais me rendre à la capitale le plus vite possible. Je me dirigea finalement vers sa tante et tout en restant à l'extérieur je lui dit: "Mr. l’exorciste il va falloir levé le camp, Akoy est encore loin." Je ne pu m'empêcher de repenser à la nuit dernière et à son soit disant exorcisme, ma tête devait être hilarante !

Alaphon se leva après quelques instant et à sa vu je me suis plier de rire en me disant qu'au final être exorciste ça lui allait bien surtout si c'est pour tuer quelques vers de terres. Lise lui dit amicalement "Salut Alaphon ! J'espère que voyager de jour ne te gène pas trop."

Le matin arriva et je fus réveillé par Galrauch qui me dit "Mr. l’exorciste il va falloir levé le camp, Akoy est encore loin." . Quand je sortie de la tente je vu qu'ils étaient en train de faire les bagages pour le voyage.

Pendant que je rangeais mes affaires, Lise me dit "Salut Alaphon ! J'espère que voyager de jour ne te gène pas trop." Je lui repondu "Non, il n'y a pas de problème. Les vampires craignent le soleil car il nous brûle la peau mais c'est supportable".

Après avoir fini de préparer nos affaires, Galrauch me dit"Bon, on n'y va", Lise me demanda "on commence par aller où?"
"On vas se diriger par là " lui dis-je en montrant un chemin entouré de grands arbres.
"Nous devons continuer jusqu'à atteindre une petit un petit village où nous pourrons nous reposer."

Il répondit à Lise: "Non, il n'y a pas de problème. Les vampires craignent le soleil car il nous brûle la peau mais c'est supportable." Au moins, je l'ai entendu de sa bouche on va pouvoir voyager de jour comme de nuit. Il se mit à pointer une direction en disant: "On va se diriger par là."Il ajouta ensuite: "Nous devons continuer jusqu'à atteindre un petit village où nous pourrons nous reposer."

Je lui répondit: "Très bien, j'espère que nous pourrons nous réapprovisionner là-bas." On allait manquer de vivre et je suppose que les réserves de sang de celui-là soit suffisantes pour qu'il ne perde pas l'esprit et tente de nous attaquer.

Lise était d'un coup beaucoup plus presser à l'entente du mot village et nous avait déjà devancer. Elle cria au loin: "Dépêchez-vous ! J'ai envie d'un bain et d'un bon lit moi !" Accélerant le pas je chuchota à Alaphon: "Fais ce qu'elle dit sinon elle va être infernale."Lise cria de plus belle: "Je t'ai entendu ! Allez dépêche-toi !"

Je mit à courir dans sa direction et dit "T'as raison en fait ! Plus vite on y sera, plus vite on pourra profiter de l'auberge !" Le soir même on était arriver à l'auberge. Le tenancier nous demanda: "Qu'est-ce que ce sera pour vous messieurs ?" Je lui répondit en mettant quelques pièces d'or sur le comptoir: "Vos deux plus belles chambres et trois bières je vous prie."

Le tenancier n'ayant pas l'habitude de voir des pièces en or répondit: "Bien sûr, monseigneur a-t-il besoin d'autre chose ?" Lise me dit avec un regard féroce: "T'as oublier mon bain !"

"Mais vous l'aurez mademoiselle, laisser moi faire monter vos bagages pendant que je vous sert." Sur ce coup, il m'avait sauver. On se dirigeait vers une table et je dit à Alaphon: "Désolé, j'ai commander pour toi mais au moins maintenant on est tranquille."

Tu parle d'un voyage, on ne peux pas s'enuiller avec cette Lise. Elle coremarqué te partout. Elle est impossible à suivre, mais au moins il y a Galrauch qui me dit "Fais ce qu'elle dit sinon elle va être infernale.". Sérieusement mais comment peut elle être pire. Mais Lise en plus d'avoir le pouvoir me fatigué a entendu nos messes basses
Mais elle ne nous en pas tenu rigueur et lui dit"Je t'ai entendu! Bon aller dépêche-toi
J'orrai presque envi de m'en débarrasser mais elle a un côté si mignon et innocent que je ne peux faire sa.
Je  doute que Galrauch acsepte sa. Bon ,après un voyage d'une journée où j ai du forcé le pas car Lise voulais un bon bain chaud  et un lit douillet à l'auberge.

Nous arrivons à lauberge où nous somme reçu par un aubergiste qui nous accueils.
Garlrauch s'occupe de nous trouver des chambres pour la nuit. Lise fait remarquer à Galrauch de ne pas oublier son précieux bain. Quand moi je reste assi sur un siège au bar. Galrauch sort de sa poche un petit sac qu'il vide sur le contoir. Elle contient quelque magnifiques pièces d'or. Le regard que lanceai l'aubergiste, elle donnai l'impression de ne jamais avoir vu une t'elle somme dans son auberge. Elle tenait à monter nos valise loin de me déranger mais bon moi je préfère rester au bar histoire de me reposer les jambes de cette longmsue journée de marche. Galrauch a même eu la gentillesse de demander trois choppe de bière pour nous. Il y a pas à diee il est sympa ce type même si il resemble plus a un démon qu'à un humain.

Alaphon ne semblait pas être déplu d'avoir une bière bien au contraire ce qui arrangeait les choses. Pendant que l'on sirotait nos boissons fraîches un homme à moitié ivre se me mît à dire à ses trois compagnons: "Eh, regardez ! C'est la foire aux monstre aujourd'hui !" Ils rirent tout les quatre comme des demeurés, je décida de laisser couler et de continuer de boire ma bière.

Juste après ça ils vinrent tous les quatre à notre table et celui qui avait parlé plus tôt me dit: "C'est pas un endroit pour des bêtes de foires comme vous !" Les trois autres dirent des choses du même goût ce qui avait le don de m'agacer très vite.
Je leur répondit en serrant ma chope au point de froisser légèrement le métal et de fissurer le bois: "Et si vous laissiez des voyageurs comme nous se reposer tranquillement avant que cela finisse mal."

Le chef de la bande siffla un grand coup et dit: "Regardez-les gars ce petit démon essaie de faire le beau devant sa belle." il essuya sa bave et ajouta avec un regard pervers: "Tu devrais venir à notre table ma jolie. Ne reste pas avec ces deux monstres." Lise se retourna vers lui en buvant une dernière gorgé de bière la posa et lui répondit: "Moi, je ne bois qu'avec des hommes, des vrais, pas avec des moins que rien comme vous !"

L'homme non content de ne pas avoir réussi à avoir Lise à sa table répondit: "Tss, salope ! Tu vas voir !" Il leva son poing pour essayer de lui donner un coups. De mon côté, je me leva, j'attrapa son bras et lui dit "Si tu la touche, je te tuerais de mes mains ! C'est clair ?"

Il répondit :"Toi ? Me tuer ? Ah, la bonne blague !" Il essaya tout de même de la frapper de son autre main. Je lui mît un coup de poing qui le fît voler jusque l'extérieur de la taverne en passant par les portes battantes tout en lui faisant cracher un quantité non négligeable de sang.

A partir de ce moment la situation tendu se transforma en bagarre générale.

Ce qu'on est bien dans une auberge après une journée de marche. Nous voila tous les trois assis à une table, une choppe de bière à la mains. Tous était bien partie pour passé une bonne soiré, mais il a fallut que l'on tombe sur des pecnots.
Ils sentent la crasse et l'alcool. L'un d'eux c'est cru malin de sifflé en pleins milieu de l'auberge et dit d'une vois grasse "regardé C'est la foire aux monstre aujourd'hui !" Mais qui est il pour dire sa.
Bon il est tard et je ne vais pas m'énerver pour si peux.C'est surement à cause de l'alcool, qu'ils sont dans cet état là.

Mais après quelque blagues, je les vu venir nous chercher des problèmes il semblai en avoir après Lise, ils voulaient l'invité à leur table mais lise semblai plutôt équerrer. Elle leur dit en posant sa bière "Moi, je ne bois qu'avec des hommes, des vrais, pas avec des moins que rien comme vous !".
Tu parle dire sa a des ivrognes autant les tués ou les jetés dehors, mais sa ne ce fait pas il parait.
Mais après plusieurs minutes l'homme tente de frappé Lise et en un car de tour Galrauch arrête le bras de l'ivrogne et lui lance un regard de démon .

Quand à moi sur le coté je me suis mis à sourire. Mais en moins de trois minutes une bagarre générale ce lance et il ne reste plus que moi assis à notre table sans avoir pu goutter à ma bière
Je ne voix pas ce qui pourrai arrivé de pire.

On m'avait envoyé à Akile cette fois, cela faisait longtemps que je n'y étais pas allé en mission, aussi Akile est assez calme comme empire par rapport à la présence d'hérétique.
Je devais chercher et trouver un profanateur de tombe qui agissait dans un village et que personne n'avait réussi à attraper ou à reconnaître mais après enquête, nous en avions déduis que c'était un habitant du village.

J'arriva donc dans ce village en question et j'alla en premier lieu à l'auberge espérant récupérer quelconques informations et avoir un endroit où dormir.
En arrivant, je vit un homme se faire éjecter de la taverne, il avait le visage ensanglanté.
-Une bagarre... me dis-je.

L'homme se releva difficilement et me regardai, vu sa tête il était bourré.
-Eh toi l'abruti en boîte de conserve hoc..., qui-est-tu pour venir comme cela? Hoc... me demanda-il
Boîte de conserve?! mon armure bénie?! Il va voir!
-Je suis un Paladin ! lui répondis-je sèchement avant de lui mettre un énorme coup de pied dans le ventre le renvoyant dans l'auberge.

Je rentra ensuite pour voir que mes pensées sur la bagarre étaient confirmées: une bagarre générale.
Je fit à peine trois pas que je me prit un tabouret dans le buste qui se brisa en s'écrasant contre mon armure.
En temps normal je ne dirai rien mais tout cela m'avait profondément énerver.
-ON SE CALME ! cria-je d'un ton sévère en créant une lumière aveuglante au milieu de la salle qui fit arrêter la bagarre.

Il y avait vraiment n'importe quel type de personne dans cette auberge tout de même: des sangs-mêlés, des humains, des nains et même quelques vikings.
-Depuis quand on va se laisser faire par un mec comme toi? dit-alors un homme assis au comptoir à côté d'un vampire.

En réponse, je lança un javelot de lumière qui passa entre lui et le vampire pour se loger dans le mur.
-Parce que sinon la prochaine fois je viserai un peu plus sur toi. répondis-je froidement.

La fête battait son plein si je puis dire, l'aubergiste annonça d'un ton ennuyer: "C'est la dernière bagarre, après, je ferme !" Personne n'y prêtait attention et tout le monde continuait de se battre.

Je faisait goûter mes poings au groupe qui nous avait importuner et chacun eu droit à un traitement différent. Le premier se prit une droite détonante qui le laissa au sol, assommé. Le second eu pour tout paiement un coup de genoux dans le ventre qui le fît vous tout l'alcool qui avait bu précédemment. Le dernier, lui, fracassa une bouteille sur ma tête, je me retourna, l'attrapa et le lança sur une table.

Lise était au milieu du chaos ambiant assise sur une table en tailleur, elle attrapait les chopes et tout ce qui contenait de l'alcool qui passait à porter pour les boires. A chaque fois qu'elle finissait un verre elle s'amusait à le lancer à la tête des gens, ça la faisait beaucoup rire quand la personne qui se retournait croyait que c'était quelqu'un d'autre qui l'avait lancer.

Soudain, l'homme que j'avais envoyer dehors se fît encore éjecter à l'intérieur et arriva dans une table juste à côté de moi. Je le souleva par le col et lui dit: "Tu te souviens de moi ? Je t'avais promis un truc, non ?" Il se mit à hurler de douleur quand je lui remit un coup au ventre, j'avais presque pitié de lui mais il a commis l'impardonnable en essayant de blesser Lise.

Au moment où j'allais lui remettre un coup en pleine face une voix puissante me stoppa: "On se calme !" L'homme cria-t-il en faisant un flash lumineux des plus désagréable. C'était un colosse, il faisait quoi ? Deux mètre ? Et il portait une armure plus qu'imposante.

Un autre homme au côté d'Alaphon dit alors que le monde avait arrêter de se battre: "Depuis quand on va se laisser faire par un mec comme toi?" Mauvaise idée... Sa se voyait pourtant que c'était un inquisiteur, ces types là ils ne rigolent pas. Le paladin eu la réaction de lancer un javelot de lumière entre lui et Alaphon. Il dit ensuite "Parce que sinon la prochaine fois je viserai un peu plus sur toi."

Il devait être fort, peut-être même plus que moi et j'avais envie de me battre contre lui mais je pense pas qu'un affrontement sérieux entre lui et moi soit la meilleur des chose pour ce village. Je finis donc ce que j'avais commencer soit en collé une à l'homme que je n'avais toujours pas lâcher et dit à l'intention du paladin: "Tu prétend vouloir que tout le monde se calme mais tu es le premier à répondre par la violence, ce n'est pas vraiment très censé tout ça."

Je sais que ce n'est pas une bonne idée de le provoquer mais une partie de moi me hurle de le combattre, un adversaire laissant émaner une telle force n'est pas courant de mon jours.

Tu parle d'une galère.
Je viens dans une auberge pour me reposer, me voilà coincer au milieu d'une bagarre générale.
Moi qui n'aime me battre me voici obligé de rester concentré pour ne pas me prend un coup de point  dans le visage.
j'en profite pour remarquer que Galrauch s'amuse bien dans cette bagarre. Quand à Lise elle reste assi à la table tous en écrasant ces choppe sur la tête des gens lors qu'elle son vide.
Pendant la bagarre j'entends l'aubergiste dire "C'est la dernière bagarre après je ferme". J'en profite pour me reprocher du contoire et lui demande"Sa arrive souvent ce genre d'animation ici". Elle me répondit avec un accent de paysans "A ba sa oui alors, is se battent souvent après avoir trop bu".
Je retouna à ma place en evitant de trébucher sur une personne assommé par les coups de Galrauch. "Vouala ce qui arrive quand on se bat contre lui" me suis-je dit.
Une fois de retour à ma place, je voulu boire une gorgée de ma bière quand soudain

Les portes de l'auberge s'ouvrient et j'entendis d'une voix puissante "On se calme".
Quand je me retourna je vue d'abord un flash aveuglant
Ensuite je pu voir la personne a qui on devait ce calme retrouver.  
Il était gigantesque et brillait comme le soleil de midi.
Son armure était doré et je sentais une grande puissance émaner de son corps.
Un homme complètement ivre ce tenant à côté de moi lui dit d'un "Depuis quand on va ce laisser faire par un mec comme toi?". Quand il fini sa phrase la main du géant ce mis à briller et il lança une lance de lumière qui passa entre livrogne et moi. On peut dire que j'ai crû mourir. Mais d'un autre côté cette homme me semblait intéressant.

Je fus tiré de ma réflexion par Galrauch qui eu l'exelante idee de le défié en lui disant d'un air sur de lui " "Tu prétend vouloir que tout le monde se calme mais tu es le premier à répondre par la violence, ce n'est pas vraiment très censé tout ça.". La bonne idée de dire sa un mec qui pourrait broyer un chaise d'une mains.
Si il veulent ce battre j'espère que sa ne sera pas jusqu'à la mort ce serai dommage de devoir en ramener un à la vie

L'homme en voyant le javelot passer à côté de lui se tut immédiatement.
Cependant un homme ou plutôt un mi-homme,mi-dragon prît la parole à son tour après avoir mit un dernier coup à l'homme que j'avais renvoyé en arrivant.

-Tu prétend vouloir que tout le monde se calme mais tu es le premier à répondre par la violence, ce n'est pas vraiment très censé tout ça. c'est lui qui venait de refrapper un homme qui me dit ça?
Cette phrase ressemblait plutôt à une provocation pour m'affronter plutôt.

-La violence tu dit? Toi qui vient de frapper un homme avant de m'adresser la parole. répondis-je d'une voix grave. Si j'avais voulu être violent, j'aurai lancer mon javelot directement sur lui et non à côté. Cela est plutôt de la persuasion.

J'esquissa cependant un sourire: ce sang-mêlé devait être sûr de lui pour mé défier en connaissance de cause.
Je le regarda droit dans les yeux.
-J'accepte ton offre: réglons cela dehors, je refuse d'endommager encore plus cette bâtisse.

je lança ensuite une bourse d'or à l'aubergiste lui disant que c'était pour réparer les dégâts causés par la bagarre.
Je sortit ensuite tranquillement attendant mon adversaire sur la place du village qui me rejoignit très vite suivit des gens présents dans l'auberge qui sortirent pour regarder.

je croisa les bras le regardant d'un air neutre.
-Dit moi ton nom, moi je suis Méliodas Ater, Paladin Inquisiteur. dis-je. Mon annonce étonna les gens autour se demandant sûrement la raison de ma présence.
Je te laisse porter le premier coup. ajouta-je en gardant les bras croisés.

Il me répondit d'une voix forte: "La violence tu dit? Toi qui vient de frapper un homme avant de m'adresser la parole. Si j'avais voulu être violent, j'aurai lancer mon javelot directement sur lui et non à côté. Cela est plutôt de la persuasion." Va expliquer aux meubles que c'est de la persuasion me suis dis-je.

Il se mit à sourire et me fixa directement dans les yeux pour me dire: "J'accepte ton offre: réglons cela dehors, je refuse d'endommager encore plus cette bâtisse." Il lança ensuite une bourse au tenancier pour réparer les dégâts causer, je suppose que les meubles allaient lui pardonner après tout.

Mais au moins il avait comprit là où je voulait en venir, il sortit et se rendit sur la place du village. Je pris juste le temps de dire à Lise que j'allais m'amuser dehors et le suivit dehors, une fois arriver j'avais remarqué que tout le monde nous avait suivit aussi.

Il me dit en croisant les bras: "Dit moi ton nom, moi je suis Méliodas Ater, Paladin Inquisiteur." J'avais bien raison, c'était un inquisiteur donc il devait savoir se battre, c'est son métier après tout.

"Je me nomme Galrauch Blake, demi-dragon et simple homme à tout faire." lui répondis-je respectueusement. Je m'inclinait légèrement en signe de salue car il avait répondu à mes attentes. Lise était là et se foutait royalement de moi soit disant que je me soumettait à l'ennemi sans même avoir combattu.

Toujours les bras croisés il ajouta: "Je te laisse porter le premier coup." Il semblait sûr de lui probablement grâce à son épaisse armure qui ne laissait apparaître seulement sa tête. Je lui répondit d'un air amusé: "Vraiment ? Ne viens pas te plaindre après s'il manque quelques morceaux à cette belle cuirasse."

Ne me faisant pas prié plus longtemps je m'élança sur lui pour lui trouer l'épaule droite à l'aide de mes griffes légèrement renforcer par mon pouvoir de constellationniste.

Le bruit de la bagarre avez attiré un paladin et un gros. Moi qui voulait juste me reposer me voilà en présence d'un géant qui avez risqué de me tuer. "Il fait mal aux yeux avec son armure" me suis-je dit.
Il ressemblait a une zombie en armure mais en moins mort-vivant. La conversation entre lui et Galrauch était presque trop sérieuse, ils essayaient de critiquer l'autre en voulant justifier leur violence. Mais de mon côté je voulais les séparer mais j'entendu comme des murmures qui me disait "Laisse les se battrent si l'un d'eux meurt tu auras un nouveau soldat pour te servir".

Mais le temps que je me rende compte de ce à quoi je pensais je fus ramener à la réalité pour la provocation du paladin envers Galrauch. Il voulait ce battre contre Galrauch mais en dehors de l'auberge, histoire de ne pas abîmer plus l'auberge. Ils partirent tous les deux pour la place du village.
Une fois arrivé sur la place, je voulu invoquer quelques ossements pour me créer un belle chaise en os. Mais je fus plutôt démoraliser quand le géant phosphorescent ce présenta il dit"Je suis Méliodas Ater paladin inquisiteur".
La peur que j'ai eu en entendant ça. Il fallait que ce soit le pire tupe de paladin pour moi. Il doit être du genre à tuer tous ce qui et considéré comme hérétiques et techniquement je suis un hérétique.
Donc pendant qu'ils faisaient les présentations moi je m'installa sur un banc je n'entendait cassi rien il y avait comme des murmures incompressibles qui résonnait dans mon esprit mais je les fit taire en résistant une prière.
Quand je releva la tête je vu Méliodas provoquer Galrauch en lui disant "Je te laisse porter le premier coups".

Il devait être fort pour ce permettre ce genre de moqueries. Galrauch lui répondit "Vraiment, ne vien pas te pleindre après si il te manque un morceau de ton armure".
Ils étaient tous les deux sur de et de les capacités alors que moi je les regardaient ce preparaient à ce battre. Tous d'un coup Galrauch ce jeta sur Méliodas avec ces griffes près à le déchiqueté.
Sa promettai un combat de grande envergure.

Il me répondit qu'il se nommait Galrauch Blake et qu'il était un homme à tout faire avant de s'incliner respectueusement devant moi pour me saluer. Il fut sujet aux moqueries d'une fille qui semblait le connaître à cause de cela d'ailleurs.

Vraiment ? répondis-il ensuite d'un air amusé. Ne viens pas te plaindre après s'il manque quelques morceaux à cette belle cuirasse. Il ne se fit ensuite pas attendre et s'élança vers moi griffes sorties en visant mon épaule droite.
Ses griffes n'étaient pas normales pour qu'il attaque mon armure avec autant de confiance...

J'interposa mon avant-bras droit pour bloquer ses griffes en l'ayant renforcer avec ma lumière.
L'attaque fut arrêtée: ces griffes glissant le long de mon avant-bras comme une lame qui glissait le long d'une autre lame.
Je prit sa queue avec mon autre main avant de faire un demi-tour et de le lancer vers sa position initiale.

Je le regarda d'un air provocateur en souriant.
- Tu ne croyais tout de même pas endommager Iustitia: l'amure bénie par les anges comme ça? J'avais certes confiance en cette armure mais je ne devais tout de même pas dépendre d'elle non plus.
-Tu va devoir y aller plus fort mon cher Galrauch. ajouta-je en souriant.